Décidément, on a vraiment eut droit à un épisode super chargé, super intense et super jokes sans jamais s'arrêter une seconde pour reprendre son souffle. À un point tel que je suis physiquement épuisé et que j'en perd mes mots.
Mais le plus important, le plus étrange...
Le principe des oppositions est vraiment quelque chose de fort. Avec une série aussi loufoque que Lucky Star, on s'habitue à un rythme rapide et peu sérieux. C'est pourquoi, quand on est arrivé à la seconde moitié de cet épisode, on a frappé un mur. Soudainement, l'histoire prenait un tournant dramatique. Oh ce n'était rien de particulièrement grave. Juste une petite querelle du quotidien entre membres de même famille. Mais puisque la première moitié nous a fait tant rire, ce soudain virage mélancolique prend des proportions gigantesques.
(attention, ça devient sérieux!)
Ce phénomène là est basé sur un principe sur lequel j'ai lu récemment dans un article qui parlait de références émotives dans les jeux vidéo et de comment favoriser une réaction plus personnelle et des émotions de la part du joueur. L'article parlait de notions beaucoup trop complexes pour que je les aborde ici mais en gros, ça parlait de tenter de recréer une réaction physionomique chez le joueur pour ensuite lui ressortir des souvenirs associés à l'émotion qu'on chercher à lui faire ressentir. (Pour ceux que ça intéresse, l'article fait 9 pages sur Gamasutra)
Tout ça pour dire que cet épisode de Lucky Star (et certains autres auparavant dans une moindre mesure) a réussit là où des tonnes d'autres animes et films ont échoués. C'était vraiment une expérience spéciale.
mercredi 21 novembre 2007
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